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audi explose les vampires la nouvelle audi est vraiment un fléau pour la population vampirique: watch?v=jw-e2jcmtsc publié dans non classé | pas de commentaires » des vampires dans la suite de shining stephen king a dévoilé un passage de son prochain livre, doctor sleep , lors d’une lecture à l’université george mason où il était venu recevoir une récompense. il officialise ainsi le commencement de l’écriture de la suite de shining , troisième roman du maître de l’horreur. stanley kubrick en avait tiré un film en 1980, shining . une adaptation télévisée avait été réalisée plus récemment. 34 ans ont passé depuis la première parution de shining . stephen king a décidé d’en écrire la suite après un sondage auprès de ses fans sur son site. fin 2009, il leur a demandé s’ils préféreraient lire une sorte de « spin-off » de la tour sombre ou la suite de shining . le second projet a gagné, à 30 voix près. dans cette suite, l’écrivain se projette dans le futur. danny torrance, le fils de jack, héros du premier opus, a 40 ans. il compose avec les séquelles de son aventure, enfant, dans l’hôtel où son père était en proie aux démons. et sa nouvelle vie est visiblement loin d’être tranquille : dans le passage lu par stephen king, il est question d’un groupe de vampires itinérants baptisé « la tribu »… publié dans litterature | pas de commentaires » quand les vampires dominent le monde: stake land un road movie référentiel qui nous transporte dans un monde infesté par une épidémie de vampirisme. les hommes sont obligés de fuir pour échapper aux bêtes assoiffées de sangs que sont devenues les morts. les villes ne sont plus que des cimetières et les survivants se rassemblent dans des petits villages, terrifiés à la tombée de la nuit… notre avis : une chose frappe immédiatement lors du visionnage de stake land , c’est la beauté de sa réalisation, le savoir-faire de son cinéaste (jim mickle, réalisateur de mulberry street , l’étrange sérénité qui plane sur cette oeuvre pourtant dure mettant en scène un monde apocalyptique frappé par un virus vampire… c’est à un film de cinéma auquel on assiste, avec ses plans composés qui ne cherchent jamais la facilité, à une série b d’envergure tant le réalisateur fait tout son possible pour s’affranchir de la fadeur télévisuelle. aussi l’on rentre donc immédiatement dans le film, frappé par la force de son introduction : le massacre d’une famille en flash-back et la présentation du premier monstre, une créature vampire aux dents longues, plus proche du contaminé de 28 jours plus tard que de nosferatu, même si, il faut bel et bien un pieu dans le coeur ou le laisser au contact du jour pour s’en débarrasser définitivement. stake land est un nouveau road-movie à travers une amérique décimée, entre un chasseur de vampires (mister) et un ado sauvé d’un massacre, devenu son disciple. on y retrouve le pays entièrement redéfini par la sauvagerie, une nation où la contamination a contraint les hommes à se réorganiser en communautés primaires ou à s’exiler vers un éden canadien. on pense au remake du « dernier survivant « , « je suis une légende » à « la route » , mais aussi évidemment à tous les films de contaminés post « 28 jours » , ou encore à « l’armée des morts » et aux récents the walking dead » et « zombieland » . publié dans cinema | pas de commentaires » interview de jessica, jeune vampire de true blood voici la traduction libre d’une entrevue parue sur le site nzherald.co.nz. il s’agit d’une entrevue avec l’actrice deborrah ann woll , réalisée par la journaliste michele manelis, pour nzherald. woll incarne jessica hamby, une séduisante jeune vampire, dans la série true blood, diffusée sur la chaîne hbo et ayant déja 3 saisons à son actif, avec la 4e saison tirant à sa fin. michele manelis s’entretient avec deborah ann woll, de true blood, à propos de l’évolution de l’histoire, et aussi à quel point elle est heureuse d’apparaitre nue à l’ecran… en tant qu’“adolescente vampire rousse résidente” de true blood, jessica hamby a certainement déja beaucoup à son actif, durant sa courte “après-vie”. mais deborah ann woll dit que cela ne fait que commencer pour son personnage… “ o’ mon dieu! tout arrive à jess cette saison! ”, dit woll, de ses 26 ans, avec enthousiasme. son histoire en est une d’arrivée à maturité, la transformation d’adolescente à jeune femme, d’humaine à vampire. elle est en conflit avec qui elle est, personnellement, et embrasse de plus en plus le côté vampirique. en contraste avec la plupart des vampires, jessica est habitée de sentiments d’empathie et de remords. “ elle est plus près de sa propre humanité que beaucoup d’autres vampires, je pense qu’un peu de cette culpabilité humaine survit à l’intérieur d’elle, et de cette façon, elle n’a pas encore cédé entièrement la nature vampirique ” dit-elle. a l’hôtel 4 seasons de beverly hills, où elle se trouve parmi ses collègues de travail, et autres membres de l’équipe en train de réaliser des entrevues, woll se montre sa personnalité et parle sans retenue de la nature sexuelle forte de true blood. “ pour ce qui est des éléments sexuels de l’intrigue, je suis très audacieuse et partante ” dit-elle. son personnage, emmêlé dans un triangle amoureux avec hoyt (jim parrack), se retrouve dans de très intimes situations. “ je n’ai pas de problème avec ces scènes, j’aime voir des gens nus, mais ce qui est particulièrement intéressant à mes yeux est de voir le jeu des acteurs, comparativement à de la pornographie, concernant le contexte. il est important d’avoir une raison pour qu’il y ait de la nudité. heureusement, cela est évocateur, même si ce n’est que de nous transmettre que deux personnes sont assez confortables ensemble pour se présenter nus et vulnérables l’un a l’autre . la raison pour laquelle je suis un peu lasse de tourner des scènes de nudité est surtout parce qu’il est possible qu’elles soient utilisées hors contexte et présentées de n’importe quelle manière, d’une façon dont je n’ai jamais eu l’intention. alors même si j’aime la sexualité et la nudité, et que je ne juge certainement pas ceux qui choisissent de le faire, pour moi, il est important de choisir quand et comment j’apparais nue à l’ecran. cela est différent de la manière dont je me sentirais, s’il s’agissait d’une production faite pour être présentée sur une scène. ” née et ayant été élevée à brooklyn, new york, elle a commencé à jouer dans des pièces de théâtre dès son tout jeune âge, pour éventuellement faire le saut en télévision en 2007, lorsqu’elle a commencé à apparaître dans des séries telles que er et csi. mais sa carrière n’a vraiment pris son envol que lorsqu’elle est devenue la progéniture de bill compton (stephen moyer) . elle a aussi depuis fait des apparitions dans the mentalist et law & order : special victims unit. « j’ai toujours su que je voulais être actrice, même quand j’ étais une petite fille. nous avons des bandes vidéos où on me voit en costume de tortue, portant des petits souliers de danse à claquette et dansant pour ma mère. je savais que j’aimais raconter des histoires, ou prétendre que j’étais quelqu’un ou quelque chose d’autre, et cela a naturellement mené à une carrière d’actrice » dit-elle. woll est la première de sa famille à entrer dans l’univers du divertissement. son père est architecte, sa mère, enseignante. une blonde naturelle de descendance irlandaise et allemande, elle a commencé à se teindre en rousse à 14 ans, une décision qui l’a bien servie, lui permettant de se démarquer du stéréotype des blondes hollywoodiennes. on peut la retrouver sur plusieurs listes de « plus belle… », et bien sûr, comme toutes les actrices, particulièrement les vampires qui résistent au processus de vieillissement, elle se doit de préserver son apparence. « je n’aime pas vraiment m’entraîner, même si j’en fais assez pour demeurer en santé », dit-elle, « mais je voudrais être en mesure de jouer n’importe quel type de personne, pas seulement celles qui ont un physique parfait. et au